3.1.12
fuck on.
j'entends parfois respirer
le son des freins qui crisse - l'allure
l'halètement des chiens
l'évulsion de son linge sale de toi
la clameur hésitante
et les souvenirs
quand tu sers
l'écrou contre mon coeur
quand tu maronnes
l'interface identique à ma marée
à leur ramée
quand je te déteste
quand je t'aime
quand tu ne sais plus rire
de nous
quand tu boulonnes le vide
jusqu'au fond de mes trous
pleins de cils vous plaît
encore une fois pour faire l'amour
quand tu t'assouvis dans
mes longs bras de rideaux
dégoulinants, sans le soleil de se moi
près de mon ombre sur l'éclipse
que j'essaie ne pas haÏr
endort toi, ami
ma langue est facile à mordre
l'envie puérile
et tu dis que tu m'aimes.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire